C’est dans l’air du temps : le terme TrustRank va sans doute bientôt remplacer le fameux Sandbox. Voilà pourquoi certains parlent désormais de TrustBox !
Todd par exemple a indiqué récemment qu’il n’y a pas de sandbox mais plutôt une trustbox.
Je parlais hier du lien entre Sandbox et TrustRank.
Rappel : le TrustRank est un terme d’un algorithme de chercheurs chez Yahoo, pas chez Google…
Danny évoquait les nouveaux réseaux de confiance qui peuvent être utilisés par les moteurs de recherche pour analyser dans quel réseau (de liens) est situé un site. Plus récemment, il a synthétisé l’évolution de la prise en compte des liens dans les algorithmes des moteurs de recherche :
Martinibuster clamme la mort du « link development »… enfin pas tout à fait, il pense qu’il faut revenir à des liens « naturels ».
Aaron Wall fait le point sur ce qu’il appelle justement le Google Trustbox (j’ignore si c’est lui qui a inventé ce terme).
Avec cette notion de confiance que l’on retrouve un peu partout, les stratégies d’échanges de liens doivent absolument être revues. Comment rentrer dans cette Trustbox ?
Peut-être faudrait-il simplement faire comme si les moteurs n’existaient pas, et redevenir un peu plus naturel ? Le débat est lancé, à vous la parole !
Todd par exemple a indiqué récemment qu’il n’y a pas de sandbox mais plutôt une trustbox.
Je parlais hier du lien entre Sandbox et TrustRank.
Rappel : le TrustRank est un terme d’un algorithme de chercheurs chez Yahoo, pas chez Google…
Danny évoquait les nouveaux réseaux de confiance qui peuvent être utilisés par les moteurs de recherche pour analyser dans quel réseau (de liens) est situé un site. Plus récemment, il a synthétisé l’évolution de la prise en compte des liens dans les algorithmes des moteurs de recherche :
- au début, les moteurs donnaient autant d’importance à chaque lien : pour réussir, il fallait donc simplement avoir le plus de liens possibles
- ensuite, les moteurs ont accordé plus d’importance aux liens issus des pages populaires (via le PageRank) : pour réussir, il fallait donc obtenir le plus de liens possibles issus de pages les plus populaires possible
- maintenant, les moteurs analysent le degré de confiance d’un site, en se basant d’une part sur une liste de sites dits de confiance par des humains et d’autre part sur l’analyse des réseaux de liens : pour réussir, il faut obtenir des liens issus de sites de confiance
Martinibuster clamme la mort du « link development »… enfin pas tout à fait, il pense qu’il faut revenir à des liens « naturels ».
Aaron Wall fait le point sur ce qu’il appelle justement le Google Trustbox (j’ignore si c’est lui qui a inventé ce terme).
Avec cette notion de confiance que l’on retrouve un peu partout, les stratégies d’échanges de liens doivent absolument être revues. Comment rentrer dans cette Trustbox ?
