La preuve, nos exilés fiscuax (différents de expats) partent principalement dans les pays francophones qui nous entourent, et où la structure de soins est excellente....Cendrillon a dit:Il faut être cohérent avec soi même, un expat "fiscal" sait bien que les pays qui offrent une fiscalité avantageuse ne le font qu'au détriment de protection sociale et médicale. Ils doivent donc se les financer eux-mêmes, et non "profiter" de celle de ceux qui la finance par leurs impôts ...
Les motivations des expats peuvent être très diverses: entre celui qui veut rejoindre un pays, et celui qui veut fuir le sien, il y a un monde ! Sur un millions de "Français de l'étranger", on imagine bien que les motivations sont très diverses.
Enfin, je rejoins le chat sur l'inconnue que représente l'expatriation, et sur le fait que vient immanquablement - à un moment ou un autre- la question du retour, qui se pose en alternative à une inétrgation encore plus poussée dans le pays où l'on réside. Cette implication peut-être très forte émotionnellement, et c'ets souvent un des critères de choix du retour... après on habille le discours comme on le sent vis-à-vis des autres quand on doit en parler.