WRInaute impliqué
Depuis quelques jours un fil déchaîne indirectement les ires sur la rémunération d’internautes via des programmes d’affiliations. Le principe est connu et très ancien. Il existe d’autres modes de rémunération pou l’internaute qui font cette fois directement appel à ses deniers.
Ainsi ce dernier n’est plus un simple réceptacle de deniers mais également un « investisseur », ce modèle s’appelle le « crowdfunding ». L’exemple le plus connu en France de ce modèle économique est MMC (chanteur Grégroire.)
Il existe aussi des modèles ou l’internaute se transforme en rédacteur « crowdsourcing » et perçoit des revenus sous forme de bon cadeau, de partage des revenus publicitaires ou bien même d’argent. Bref on fait bosser – ou participer - l’internaute pour générer des revenus et du contenu et on lui reverse sous une forme diverse, sa rétribution. On appelle cela le web collaboratif.
On peut également trouver des modèles similaires dans les autres secteurs de l’économie (études, sondages rémunérés par la forme de revenus ou de bons cadeaux divers ou bien même monsieur Toutlemonde qui met un panneau publicitaire Adsense dans son jardin bordant la RN7 et autres gobeurs de cachetons,…). Comme quoi Internet n’a rien inventé mais juste démultiplié les possibilités, comme souvent.
Bref les exemples sont légion. Selon certains (sur WRI) toute rémunération épisodique d’un particulier sous couvert de plafond serait un mythe. Pourtant certaines sociétés dans leurs conditions indiquent de déclarer en BNC, les revenus générés, d’autres parlent d’un plafond qui une fois dépassée nécessite une immatriculation….
Entre illégalité, tolérance, que dit le droit, distinction entre argent perçu et bons cadeaux ? Que dit le code du travail, le droit du commerce et celui des impôts. Comment une entreprise de droit français peut-elle mettre en œuvre ce type de rémunération sans être dans l’illégalité la plus totale selon certains.
Merci de votre éventuelle participation cordiale et argumentée.
Cordialement,
Florent
Ainsi ce dernier n’est plus un simple réceptacle de deniers mais également un « investisseur », ce modèle s’appelle le « crowdfunding ». L’exemple le plus connu en France de ce modèle économique est MMC (chanteur Grégroire.)
Il existe aussi des modèles ou l’internaute se transforme en rédacteur « crowdsourcing » et perçoit des revenus sous forme de bon cadeau, de partage des revenus publicitaires ou bien même d’argent. Bref on fait bosser – ou participer - l’internaute pour générer des revenus et du contenu et on lui reverse sous une forme diverse, sa rétribution. On appelle cela le web collaboratif.
On peut également trouver des modèles similaires dans les autres secteurs de l’économie (études, sondages rémunérés par la forme de revenus ou de bons cadeaux divers ou bien même monsieur Toutlemonde qui met un panneau publicitaire Adsense dans son jardin bordant la RN7 et autres gobeurs de cachetons,…). Comme quoi Internet n’a rien inventé mais juste démultiplié les possibilités, comme souvent.
Bref les exemples sont légion. Selon certains (sur WRI) toute rémunération épisodique d’un particulier sous couvert de plafond serait un mythe. Pourtant certaines sociétés dans leurs conditions indiquent de déclarer en BNC, les revenus générés, d’autres parlent d’un plafond qui une fois dépassée nécessite une immatriculation….
Entre illégalité, tolérance, que dit le droit, distinction entre argent perçu et bons cadeaux ? Que dit le code du travail, le droit du commerce et celui des impôts. Comment une entreprise de droit français peut-elle mettre en œuvre ce type de rémunération sans être dans l’illégalité la plus totale selon certains.
Merci de votre éventuelle participation cordiale et argumentée.
Cordialement,
Florent